RÉSISTANCE "PLAN VERT"
SCÉNARIO BLITZKRIEG V3
Le débarquement allié vient d'avoir lieu ces derniers jours. Depuis que "les dés sont sur le tapis!" la résistance est entrée dans la danse elle aussi et par ses attaques ,partout sur les arrières du front et sur le territoire, dois gêner au maximum les allemands. Le PLAN VERT est destiné aux actions sur les voies ferrées de façon à retarder au maximum l'arrivée de renforts sur la Normandie.
Nous sommes en juin 1944 quelque part dans le limousin. une petite bourgade tranquille ..... !?
Pour le scénario la table est organisée de la manière suivante : Au sud est le village avec une caserne dans laquelle stationne une section allemande de Feldgendarmes. Au nord une rivière qu'enjambent deux ponts. Un de chemin de fer près duquel se trouve un poste contrôle avec un groupe. L'autre pont mène à une autre localité plus au nord. Les renforts allemands (section renforcée) peuvent arriver soit de l'ouest, soit de l'est sur un bon jet de dé dès que la caserne aura été activée. La flèche bleu montre l'axe d'attaque des maquisards. L'étoile rouge marque l'emplacement des charges qui doivent être posées pour détruire la voie ferrée.
Le poste de contrôle. un allemand est sorti pour en griller une et se poster en faction.
La Voie qui mène au pont depuis la gare.
La Komandantur
La "Cazerne".
Le jour se lève à peine.... la bourgade dort encore.
Le plan des maquisards est le suivant :
Le groupe franc HARDI (A) est chargé de la destruction en C par un coup de main en force sur le point de contrôle. Le groupe franc MONOD (B) infiltré depuis la nuit (placement caché) est en embuscade pour couvrir la fuite de A par la route D jusqu'à F. Le butoir de l'embuscade doit avoir lieu au niveau de E avant de s'exfiltrer vers F.
Mieux que les gazogènes, des véhicules ont été volés dans les parcs de l'ennemi et caché de nuit dans les bosquets près d'une maison isolée. Ils sont en place pour permettre une fuite rapide.
5h00! le groupe franc HARDI (conscrits confiants) déboule sans faire trop de bruit par le pont ferroviaire. La sentinelle croit un instant avoir la berlue mais....
finalement se retrouve face "aux terroristes" qui ne lui laisseront que le temps de donner l'alerte!
avant de s'effondrer au sol.
Le groupe à peine sorti de sa torpeur veut gagner sa position de défense sous les tirs nourris mais prends des coups qui vont le fixer en faisant des blessés.
Les tirs ont étés entendus à la caserne qui s’anime tout à coup. La section embarque pour aller au plus vite sur le point de contrôle.
Pendant ce temps, l'assaut est mené sur le point de contrôle et les allemands sont réduits sans pouvoir contrer l'attaque.
Le groupe franc HARDI (A) est composé comme suit : (CDT) ; (MIL+MIL+MIL+LMG) ; (MIL+MIL+RES+EXPLO+LMG)
La position est prise sans coup férir. Les éléments se mettent en place face à l'ouest au cas ou ...
Un élément plus expérimenté que les autres (RES) composé d'ancien militaires vont poser les charges sur les voies.
Il ne reste plus qu'a raccorder les fils bleu et rouge sur le bouton vert et blanc comme dans le film...
Ça tombe bien car tout est à l'heure chez l'occupant. Il est 5 h 15, un train amenant du matériel en renfort vers le nord pointe le bout de son nez!
Tchou Tchou fait le train...
"Das Zoli TRAIN"
BAOUM! fait l'explo!
Puis un gros trou en lieu et place de la voie tordue en tout sens.
Le train déraille et vient s'encastrer dans la structure du pont.
Le train prend feu dans un fracas d'enfer. Il y aura du travail pour tout remettre en état. Une perte de temps pour l'occupant. un gain pour les alliés dans leur lutte.
Le groupe Franc HARDI s'exfiltre par la route comme prévu.
Entre temps la section de la caserne à pris la route elle aussi pour rejoindre le point de contrôle. Au passage elle aura averti quelques renforts qui arriveront dès que possible.
La route et ses abords semble paisible. A distance de détection le jet de Dé de l'unité de reconnaissance donnera 1 donc elle ne verra rien du tout!
Ainsi l'ensemble de la section s'engage sur les lieux de l'embuscade sans s'en rendre compte.
Il est content Helmut au guidon de son side-car!
Certains se méfient quand même ... ils ont raison.
Le petit convoi ( véterant hésitants)arrive au point E. Sa composition est la suivante :
CDT section + PM+PM (Kubel; opel blitz ; vhl steyr +2vhl)
Element d'éclairage CDS +LIGNE+LIGNE+MMG(side-car)
Le groupe Franc MONOD va pouvoir ouvrir le feu lui aussi.
sa composition : (CDT) (MIL+MIL+MIL+cocktail molotov+LMG) ; (RES+RES+RES+MMG+ cocktail molotov et panzerfaust pris à l'ENI)
Des gendarmes en font parti.
La MMG joue l'élément d’arrêt et tire sur le premier side-car.
Mais la vieille arme s'enraye!!... Les rosbifs ont envoyé du matos pourri!?? ou ne sait on pas s'en servir? on ne le saura jamais
Le tir aux pigeons est ouvert et ça tire dans tout les sens à cadence maximum.
Les maquisards arrivent à se servir du panzerfaust avec succès. Ça fonctionne bien ... "deutsch kalität!"
Les allemands jaillissent des véhicules et retournent le feu en direction des fourrés. Mais le maquisard est malin. La chose était prévue ...
Ainsi d'autres résistants leur tirent dessus en les prenant de flanc et sur l'arrière depuis les étages des maisons.
C'est désormais un carnage qui s’opère dans cette rue à la sortie du village.
Les allemands se servent néanmoins de leur véhicules pour se protéger.
Ils lancent toutes les grenades dont ils disposent.
Le chef analyse la situation est n'est pas bonne. Il faut se retirer et attendre les renforts qui ne vont pas tarder à arriver.
Les allemands subissent des pertes sensibles (étoiles noires). Il y a de nombreux blessés aussi (étoiles rouges).
Les résistants aussi ont de nombreux blessés qu'il faudra évacuer le moment venu.
Enfin le groupe Franc A arrive pour faire le coup de feu lui aussi mais surtout pour se retirer rapidement de la zone des combats avant l'arrivée des renforts allemands.
Peu discipliné au feu ils tirent en direction de leur camarades ....Par chance un test au dé ne donnera rien.
Nous parlions de renforts? Ils arrivent dans le village au bout de la seconde tentative au dé.
La direction d'une position est donné aux renforts pour prendre les résistants à revers.
Pendant ce temps la première section allemande à fait tout son possible pour se mettre à couvert.
La section est détruite tactiquement. Elle ne pourra plus rien faire.
Les renforts débarquent promptement dans une clairière au sommet de la colline qui surplombe le village.
Les résistants du groupe Franc MONOD qui ne l'ont pas vu arriver continuent à appliquer des feux sur l'allemands en contrebas.
Le retrait s'effectue en bon ordre par le pont.
Les allemands s’infiltrent par les bois.
Les résistants s'en rendent enfin compte et ouvre le feu. Leur situation devient critique.
La colonne de renfort aborde la position par le feu.
Le groupe franc HARDI doit mettre des éléments d'appui en place pour recueillir le groupe d'embuscade.
Mais dans les bois touffus ça tourne au vinaigre. Les résistants ont du mal à résister à l"assaut des allemands.
Ils sont vite submergés et doivent fuir avec les blessés en laissant des morts sur le terrain.
Seul deux éléments espèrent maintenant s'en sortir.
Le premier groupe doit ouvrir le feu contre les assaillants pour garantir la fuite.
Mais sous la pression il doit vite s'enfuir par la route avec ses véhicules.
Les derniers éléments du groupe franc MONOD sont touchés. Il y a trop de blessés... Ils se seront sacrifiés pour remplir la mission.
Ayant subit peu de pertes la colonne de renfort allemande aborde maintenant la maison isolée. Il n'y a plus personne. Il s'en est fallu de peu mais la mission est un succès chèrement acquis.
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